Jazz à Carthage 2007

Discussion des programmes des festivals de Tunisie,celebrités et people.
stormbringer
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Message par stormbringer »

je regrette pour une rare fois de ne pas etre en tunisie pour voir al di meola,c est un grand grand grand guitariste,on lui doit romantic warrior,que tout le monde connait c est un jazzy bleues man,
Robert Lynch, historien de la guitare, a dit de lui : "Dans l'histoire de la guitare électrique, personne n'a autant contribué pour faire avancer l'instrument dans une approche purement technique que M. Di Meola. Son contrôle total des différents styles et des différentes gammes est simplement époustouflant. Je me sens priviligié d'avoir pu étudier son travail durant toutes ces années."

wallahi vous ne savez pas la chance que vous avez en tunisie!!!!je vous hais !!!(formule a la leila-que j embrasse)


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stormbringer
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Message par stormbringer »

for zeynouba
dave brubeck- take five

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sly
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Soirée Dee Dee Bridgewater

Message par sly »

Soirée Dee Dee Bridgewater (photo Anis Mili )
Flamboyante et ravageuse, déchirante et somptueuse, séduisante et rageuse, percutante, lumineuse, déferlante, frénétique, les mots manquent pour parler de Dee Dee Bridgewater et du concert qu’elle nous offrait l’autre soir, au cours de la soirée la plus attendue de «Jazz à Carthage».
Carthage, elle connaît, et elle y revenait, avec plaisir, retrouver un public qu’elle aime. Mais elle y revenait autrement, cette fois-ci, avec un répertoire qui voulait rendre hommage à la France où elle vécut une douzaine d’années, et pour lequel, elle mettait ses pas dans ceux de sa consœur et compatriote Joséphine Baker qui, en 1930, chantait J’ai deux amours, mon pays et Paris.

Joséphine Baker l’aurait-elle chantée de la même manière ? Peut-être pas, mais elle n’aurait certainement pas renié le brio et la maestria de cette reine du jazz qui chantait Ella Fitzgerald avant même que de parler. De même qu’aurait été séduit, s’il l’avait entendue interpréter La mer, Charles Trenet, «Le fou chantant». Aurait-il reconnu, dans cette chanson chaloupée, ce swing puissant, ces douces ondulations de ses vagues poétiques ? Peut-être pas, mais il aurait certainement adoré ce déferlement qui réinvente et recrée une harmonie habillée du rythme trépidant et des couleurs chantantes des racines du jazz africain.....
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