L'une des spécialités de la facultés où j'ai étudié est la gestion hôtelière, et je connais des amis qui ont choisi cette spécialités, théoriquement tout les clients sont traités de la même manière, mais "entre dire et faire, il y a toute la mer". Ce qui veut dire que dire que les clients sont tous pareils ne signifie pas que le client européen sera servi de la même manière que le client tunisien.
Bien sur, on ne peut pas généraliser, mais aussi nier cette vérité ne l’empêche pas d’exister.
Tourisme Interieur
la plage n'est pas privée
Aucune plage n’est privée en Tunisie le littorale est un bien public et les hôtels payes le loyer al municipalité pour les parasols.
Les hôtels non classes club non pas le droit de refuser l’entrée au public, les prix doivent être affiché et la formule droit d’entrer doit n’est légale qu’avec le visa du commissaire du tourisme de la région.
C e ci dit je pense que Plusieurs hôtels ignorent la loi et le consommateur tunisien manquent de civisme. ..
Les hôtels non classes club non pas le droit de refuser l’entrée au public, les prix doivent être affiché et la formule droit d’entrer doit n’est légale qu’avec le visa du commissaire du tourisme de la région.
C e ci dit je pense que Plusieurs hôtels ignorent la loi et le consommateur tunisien manquent de civisme. ..
Re: la plage n'est pas privée
voila qui a l'avantage d'etre clair!!! merci expat.expat a écrit :Aucune plage n’est privée en Tunisie le littorale est un bien public et les hôtels payes le loyer al municipalité pour les parasols.
Les hôtels non classes club non pas le droit de refuser l’entrée au public, les prix doivent être affiché et la formule droit d’entrer doit n’est légale qu’avec le visa du commissaire du tourisme de la région.
C e ci dit je pense que Plusieurs hôtels ignorent la loi et le consommateur tunisien manquent de civisme. ..
Tourisme interieur
هل تغير سلوك السائح التونسي؟
لئن يعتبر انخراط التونسي في المنظومة السياحية بالتردد على النزل لقضاء عطلته مكسبا ايجابيا للسياحة التونسية وابراز لرفاه اجتماعي وارتقاء حضاري، يبقى الخلل في العقلية والسلوك. فحضور السائح التونسي في النزل يمثل «ازعاجا» في بعض الحالات لعدم الالتزام بالانضباط في الأماكن العامة والنقص الواضح في احترام الآخر «وان ظلت حالات استثنائية «فأمر عادي» بالنسبة لسائح تونسي أن تراه ثملا يتكلم بصوت عال الى حد الازعاج واقلاق راحة الاخرين غير مكترث بما يدور حوله، فهذا السلوك في تزايد من موسم الى آخر وقد اصبحت عديد العائلات التي اختارت قضاء عطلتها بنزل الحمامات تتبرأ من هذا السلوك اللاحضاري والذي يعد من المظاهـــــــر السلبية للسياحة الداخليــــة. فعلى السائح التونسي أن يرتقي بمستواه السلوكي والحضاري الى ارفع الدرجات من العفة والكرامة خاصة ليكون في مستوى الثقة التي وضعتها فيه الدولة بجميع هياكلها عندما دافعت عنه ليكون على قدم المساواة مع السائح الاجنبي، ونتذكر كم اخذ هذا الموضوع من اهتمام مداولات مجلس النواب في السنوات الاخيرة وهو ما أثمر مكاسب تحسب لفائدة السائح التونسي من جميع الطبقات والفئات الاجتماعية الذي فتحت امامه ابواب النزل في وقت كانت حكرا على السائح الاجنبي وبعض ميسوري الحال من التونسيين واتذكر حادثة طريفة وقعت لسائح تونسي في فترة الثمانينات من القرن الماضي اراد قضاء ليلة رأس السنة بأحد نزل الحمامات فمنع في الأول ولكن عندمـــــا استظهر بجواز سفر أجنبي تغيرت المعاملة وأصبح مبجلا مكرما! واذا ما أخذنا هذه الحادثة في تلك الفترة وما اصبح يتمتع به التونسي اليوم هناك فرق كبير لا بد على التونسي ان يعي به جيدا ويكون شريكا فاعلا في دفع مسيرة السياحة التونسية والارتقاء بها الى الدرجة التـــــي يبذلها السائح الاوروبي في بلده
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Assabah
vacances a boujaafar !!!! ca me rappelle une conversation telephonique,je ne sais plus avec qui....... 
[img:432:335]http://img264.imageshack.us/img264/7661/ram4cl9.jpg[/img]
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Consignes de filtrage pour les voyageurs tunisiens à Djerba
SOS Racisme accuse des voyagistes d’avoir discriminé un couple franco-tunisien.
Par Christophe Lehousse
QUOTIDIEN : mercredi 22 août 2007
Au départ, c’est une simple envie de voyage. A l’arrivée, c’est une plainte pour discrimination déposée hier par l’association SOS Racisme auprès du procureur de la République d’Evry. Et entre les deux, c’est l’histoire d’une étrange consigne dont la trace de l’auteur se perd dans les méandres des justifications des différents acteurs.
Le 12 mai, quelque part en Essonne, un couple se rend dans une agence Thomas Cook pour y verser le premier acompte d’un voyage sur l’île tunisienne de Djerba. Lui, justement, est de nationalité tunisienne, elle est française. Les deux s’apprêtent à payer pour ce produit proposé par le tour-opérateur Fram, quand la responsable de l’agence croit bon de les mettre en garde. Selon elle, l’hôtel thalasso compris dans leur prestation, le Quatre Saisons, refuserait d’accueillir les ressortissants locaux, autrement dit les Tunisiens. Leur interlocutrice consent ensuite à prendre leur réservation, tout en préférant les avertir de la possibilité d’un éventuel rejet. Auquel cas, dit-elle, ils ne seraient pas remboursés.
Hiérarchie. A cette mise en garde orale succède une version écrite. L’huissier mandaté le 16 août par l’association SOS Racisme, entre-temps saisie par le couple, «constate parmi les documents la présence de la mention cliente adv personne tunisienne interdite à l’hôtel au paragraphe prestations, conditions particulières du bulletin d’inscription» du 12 mai. «Adv» signifiant ici «avertie» comme l’a expliqué à Libération l’auteure de la mention, refusant par ailleurs de parler davantage sans l’aval de sa hiérarchie.
En revanche ses déclarations à l’huissier mandaté par SOS Racisme livren une première explication de son attitude. «J’ai pris l’initiative de faire porter cette mention sur le bulletin d’inscription dans un seul but d’information, puisque les hôteliers tunisiens refusent d’héberger des ressortissants locaux avec des touristes. Ces ressortissants doivent s’inscrire directement auprès de l’hôtelier et non par l’intermédiaire d’un voyagiste français», répond-t-elle le 16 août. Avant de mettre en cause plus directement le voyagiste Fram, prestataire de la formule choisie par le couple : «Nous travaillons avec les brochures de Fram destinées au public. Il n’y a aucune directive écrite. Ces informations nous sont données oralement par téléphone par leur service réservations.» Cette dernière déclaration s’avérait hier impossible à vérifier, le service en question étant injoignable. Pour le reste, Adeline Cannère, en charge de la communication de Fram assurait hier : «C’est la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de situation. Pour ma part, je n’ai jamais entendu aucune consigne à caractère discriminatoire qui émanerait de nos services. Ni à l’oral, ni à l’écrit.»
«Maladresse». Même défense du côté de l’agence Thomas Cook, à ceci près que Jean-François Richard, son directeur marketing, insiste davantage sur la thèse de l’erreur personnelle : «Il s’agit sans doute d’une maladresse malheureuse de la part de cette collègue qui a agi sur la base d’un on-dit . A ma connaissance, il n’existe pas de loi locale tunisienne mettant en avant le tourisme étranger, mais peut-être cette collègue était-elle mieux informée. En tout état de cause, quand bien même une telle loi existerait, nous n’avons évidemment pas à la relayer.»
Pour Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme, cette ligne de défense est tout bonnement intenable : «L’initiative personnelle est à exclure d’emblée. Car pour que cette personne ait connaissance d’une telle pratique collective des hôtels et qu’elle l’écrive noir sur blanc, il faut forcément une directive globale derrière tout cela.» Un membre du personnel de l’hôtel incriminé, où le couple a été accueilli en août, dit lui aussi «tomber des nues» devant la déclaration d’une dame «qui a eu une très mauvaise info». Mais Samuel Thomas n’en démord pas. Pour SOS Racisme, il s’agit d’amener la justice à se saisir de l’affaire pour «identifier tous les intermédiaires ayant participé à cette discrimination».
Source:liberation
SOS Racisme accuse des voyagistes d’avoir discriminé un couple franco-tunisien.
Par Christophe Lehousse
QUOTIDIEN : mercredi 22 août 2007
Au départ, c’est une simple envie de voyage. A l’arrivée, c’est une plainte pour discrimination déposée hier par l’association SOS Racisme auprès du procureur de la République d’Evry. Et entre les deux, c’est l’histoire d’une étrange consigne dont la trace de l’auteur se perd dans les méandres des justifications des différents acteurs.
Le 12 mai, quelque part en Essonne, un couple se rend dans une agence Thomas Cook pour y verser le premier acompte d’un voyage sur l’île tunisienne de Djerba. Lui, justement, est de nationalité tunisienne, elle est française. Les deux s’apprêtent à payer pour ce produit proposé par le tour-opérateur Fram, quand la responsable de l’agence croit bon de les mettre en garde. Selon elle, l’hôtel thalasso compris dans leur prestation, le Quatre Saisons, refuserait d’accueillir les ressortissants locaux, autrement dit les Tunisiens. Leur interlocutrice consent ensuite à prendre leur réservation, tout en préférant les avertir de la possibilité d’un éventuel rejet. Auquel cas, dit-elle, ils ne seraient pas remboursés.
Hiérarchie. A cette mise en garde orale succède une version écrite. L’huissier mandaté le 16 août par l’association SOS Racisme, entre-temps saisie par le couple, «constate parmi les documents la présence de la mention cliente adv personne tunisienne interdite à l’hôtel au paragraphe prestations, conditions particulières du bulletin d’inscription» du 12 mai. «Adv» signifiant ici «avertie» comme l’a expliqué à Libération l’auteure de la mention, refusant par ailleurs de parler davantage sans l’aval de sa hiérarchie.
En revanche ses déclarations à l’huissier mandaté par SOS Racisme livren une première explication de son attitude. «J’ai pris l’initiative de faire porter cette mention sur le bulletin d’inscription dans un seul but d’information, puisque les hôteliers tunisiens refusent d’héberger des ressortissants locaux avec des touristes. Ces ressortissants doivent s’inscrire directement auprès de l’hôtelier et non par l’intermédiaire d’un voyagiste français», répond-t-elle le 16 août. Avant de mettre en cause plus directement le voyagiste Fram, prestataire de la formule choisie par le couple : «Nous travaillons avec les brochures de Fram destinées au public. Il n’y a aucune directive écrite. Ces informations nous sont données oralement par téléphone par leur service réservations.» Cette dernière déclaration s’avérait hier impossible à vérifier, le service en question étant injoignable. Pour le reste, Adeline Cannère, en charge de la communication de Fram assurait hier : «C’est la première fois que nous sommes confrontés à ce genre de situation. Pour ma part, je n’ai jamais entendu aucune consigne à caractère discriminatoire qui émanerait de nos services. Ni à l’oral, ni à l’écrit.»
«Maladresse». Même défense du côté de l’agence Thomas Cook, à ceci près que Jean-François Richard, son directeur marketing, insiste davantage sur la thèse de l’erreur personnelle : «Il s’agit sans doute d’une maladresse malheureuse de la part de cette collègue qui a agi sur la base d’un on-dit . A ma connaissance, il n’existe pas de loi locale tunisienne mettant en avant le tourisme étranger, mais peut-être cette collègue était-elle mieux informée. En tout état de cause, quand bien même une telle loi existerait, nous n’avons évidemment pas à la relayer.»
Pour Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme, cette ligne de défense est tout bonnement intenable : «L’initiative personnelle est à exclure d’emblée. Car pour que cette personne ait connaissance d’une telle pratique collective des hôtels et qu’elle l’écrive noir sur blanc, il faut forcément une directive globale derrière tout cela.» Un membre du personnel de l’hôtel incriminé, où le couple a été accueilli en août, dit lui aussi «tomber des nues» devant la déclaration d’une dame «qui a eu une très mauvaise info». Mais Samuel Thomas n’en démord pas. Pour SOS Racisme, il s’agit d’amener la justice à se saisir de l’affaire pour «identifier tous les intermédiaires ayant participé à cette discrimination».
Source:liberation
لو كنا نجلب الحيوانات بدل السيّاح لفنادقنا
تونس - الاسبوعي:لاتزال قوى الجذب الى الاسفل تفعل فعلها في السياحة التونسية اذ لازالت العروض تتوالى على شبكة الانترنات داعية بأسعار بخسة للاقامة في تونس.. هذه الاسعار التي تتعرض متضمنة للنقل الجوي والتنقل من المطار الى الفندق ومن الفندق الى المطار والاقامة بغرفة مزدوجة لمدة اسبوع مع مجانية الحصول على فطور الصباح والعشاء بما لا يزيد عن 150 أورو تعتبر بمثابة غرس سكين في جرح مفتوح.. وما آلمني وأنا الذي تعوّدت بهذه المأساة التي لم تجد لها سلطة الاشراف أي حل هو أني كنت مارا في احد شوارع نيس فشد نظري فندق عادي من صنف 3 نجوم يعرض في مدخل محله تعريفاته للاقامة والتي تتراوح في الليلة الواحدة بين 235 و433 أورو للسائح أما اذا كان مرفوقا بحيوان فكلفة ليلة الاقامة للحيوان 15 أورو أما اذا تعلق الامر بسيارة فثمن إقامتها بالمربض هو 24 أورو للـ 24 ساعة. انتهيت الى شيء ما خصوصا بعدما علمت أن صاحب الفندق المذكور هو تونسي الاصل ويستعد للاستثمار في بلدنا وهو أني لم أبالغ عندما كتبت اقول أن الاسواق السياحية ليست أسواق دواب فمنطقيا وحسب ذات الاسواق فإن الدواب «الخليقة منها والصنيعة» كلفة إقامتها أرفع بكثير من كلفة الحرفاء الذين يجلبهم أصحاب فنادقنا من تلك الاسواق.. فالسائح يقيم عندنا في غرفة شاسعة ببيت حمام وفطور صباح وعشاء مع التمتع بكامل خدمات الفنادق باقل من تكلفة إقامة كلب أو قط في قفص بفندق فرنسي. والحال على ما هو عليه فإني اقترح أن تمنح الاقامة مجانا لصاحب الحيوان على أن يدفع كلفة إقامة الحيوان بالقدر الذي يدفع فيه للفنادق الفرنسية.
Source: Assabah
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elprincessa
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Re: Tourisme Interieur
Il m'est arrivé la même chose au cours de mes dernières vacances au sénégal, un ami devait me rejoindre à l'hotèl, il m'a appelé depuis l'entrée de l'hotèl me disant qu'on lui avait interdit l'accès, j'ai du donc le chercher à l'entrée et j'ai même rempli un formulaire que j'ai signé pour lui permettre d'entrer sous ma responsabilité, ils ont même gardé sa pièce d'identité.sly a écrit :
C'est arrivé à un ami TUNISIEN que j'ai invité à boire un verre et qui s'est fait refuser l'accès à l'hôtel et je peux vous dire que ça m'a révolté. Les Tunisiens n'ont rien à envier aux autres il y a dans ce beau pays des hommes et des femmes remarquables à tout point de vue. Ceux qui aiment la Tunisie ne viennent pas pour vivre dans des tours en ivoire, ils veulent avoir contact avec les gens du pays pour s'enrichir mutuellemnt et non ne voir que des animateurs ou dans danseuses de ventre CDT.
Christian Datry
Source: Le temps
quant à mes vacances en tunisie, j'en parle même pas, tous les jours on allait à la plage et il nous arrivait de vouloir aller à la piscine d'un hotèl, à chaque fois on payait l'entrée, le plus fort évidemment, et le pire c'est qu'à l'intérieur, le service dépend de la tête du client, c'est malheureux et déséspérant.
النزل التونسية وخدماتها النهارية: بأيّ ثمن وبأيّة ضوابــط؟
بامتعاض تحدث الينا أحد المواطنين وكان يخاطبنا عبر هاتفه الجوّال من أمام المدخل الرئيسي لأحد النزل بمدينة الحمامات صبيحة اول امس لينقل لنا فحوى المفاجأة التي لم يقرأ لها جيبه ولا ميدانيته العائلية ادنى حساب ولم تخطر حتى بباله وبدون مقدمات قال محدثنا «قدمت هذا الصباح باكرا لتدشين موسم الاصطياف «بتبحبيحة» داخل مسبح النزل صحبة حرمي والأبناء ممنين النفس بقضاء يوم سعيد بفضائه المفتوح.. لكن تعليمات عون الحراسة او الاستقبال بالباب نزلت علينا نزول الصاعقة حيث امرنا بضرورة دفع معلوم دخول قيمته ستون دينارا (60 دينارا) بالتمام والكمال وذلك عن كل شخص وفرد من أفراد العائلة... سألته مقاطعة كم يبلغ مقدار المعلوم؟ لأتأكد مما سمعته فرد معقبا «ستون دينارا للشخص الواحد تصوري.. انا ايضا كدت اشك في مداركي السمعية لو لم اسعى للتثبت من التعريفة المطلوبة..» وطبعا حاول المواطن الكريم الاستفسار لعل في الأمر خطا او سوء فهم فهو لم يأت للاقامة ولا للأكل والشرب بل للسباحة وحتى ان رام كما يقول - تناول بيتزا او قارورة ماء معدني فلا يعقل ان يدفع مقابلها هذا المبلغ المشط!! لذا فضل قبل ان يعود ادراجه والتوجه الى شاطئ عمومي «بلوشي» اعلامنا بهول المفاجاة مستفسرا عن مدى شرعية مثل هذه الممارسات واقرار مثل هذه المعاليم المشطة للسماح للحرفاء بالدخول الى النزل متسائلا في استنكار: هل كان علي التحول الى أقرب فرع بنكي لاقتراض مبلغ الدخول او تحرير كمبيالة في الغرض؟ تحرك فوري من جهتنا بادرنا بتبليغ صوته الى الأطراف السياحية المسؤولة مع محاولة طرح الموضوع من زواياه الموسعة لتوضيح خلفيات هذا الاجراء ومبرراته سيما وانه يعتمد كقاعدة تعامل مألوفة ورصد مدى قانونيته والضوابط التي تقنن عملية تحديد هذه المعاليم وماهية الاجراءات والاليات التي تتوفر للمواطن لتبليغ شكواه مباشرة الى اهل الذكر.. للغرض اتصلنا بالادارة المركزية للديوان الوطني للسياحة وقد تفضل السيد قاسم بالحاج صالح مدير المنتوج بالرد على مختلف تساؤلاتنا وبادر في الحين فيما يتعلق بالحالة المعروضة انفا باشعار المندوب الجهوي للسياحة بولاية نابل للتحري في الامر والتنقل على عين المكان للقيام بالتحقيق اللازم وفي وقت وجيز افادنا مدير المنتوج بنتائج التحري موضحا ان النزل الذي قصده المواطن يعتمد نظام الخدمات الشاملة «tout inclus» ومن هذا المنطلق فانه يعرض على غير المقيمين مجموعة خدمات متنوعة تشمل الاكل والشرب والسباحة والتمتع بالانشطة السياحية المتوفرة باستثناء الاقامة او ما يعرف بالسكن لهذا الغرض يخضع الدخول الى النزل لمعلوم محدد تم ضبطه بــ60 دينارا للكهول و30 دينارا للاطفال دون 12 سنة وامدنا مصدرنا بنسخة من الاعلام بهذه الارشادات قال «ان ادارة النزل قامت بتعليقها في مكان بارز بمدخل النزل لاطلاع الحرفاء عليها دون الحاجة لاستفسار عون الحراسة» رفع اللبس ولئن يعتبر مثل هذا الاجراء عاديا في توظيف معلوم خدمات على غير المقيمين ومتداول بالقطاع الفندقي حسب ذات المصدر فانه يتعين رفع اللبس القائم في مستوى تعريف هذا المعلوم الذي يتعلق بمقابل الخدمات المقدمة للحريف وليس معلوم دخول للنزل ولئن تعتبر التسمية الاولى شرعية فان الثانية تفتقد لاي وجه قانوني يعترف بهذا لذا يفترض على اصحاب الفنادق تجنب الوقوع في هذا اللبس ووضع التعريف المناسب للمعلوم وتبسيط المعلومة حول نوع الخدمات المعروضة معلوم حر ولكن مهما كانت خدمات الأكل والشرب مفتوحة لرواد النزل من غير المقيمين هل تبررها الاسعار المشطة المقترحة والتي بلغت الستين دينارا كما هو الحال بالنزل الذي قصده المواطن ومن يدري قد ترتفع في نزل اخرى كلما زادت عدد نجومه علما وان التونسي يصطحب عادة عائلته في مثل هذه الزيارات وبالتالي ستكون حتما فاتورة غطسه في المسبح من الوزن الثقيل. الرد الذي تلقيناه يفيد بان المعلوم حر ولا يخضع لاي تحديد ولا وجود لاي تسعيرة موحدة وانما تختلف المعاليم حسب الخدمات المقدمة وكذلك حسب تصنيف النزل.. رقم أخضر على ذمة المواطن وفي معرض آخر من حديثنا مع مدير الجودة أشار الى ان المصالح الجهوية لديوان السياحة تعد 17 مندوبية متواجدة بكل منطقة سياحية تؤمن خدمات مسترسلة على مدار اليوم خلال ذروة الموسم السياحي وذلك بداية من 1 جويلية الى موفى اوت وبامكان اي مواطن توجيه ملاحظاته واقتراحاته وحتى انتقاداته لاي معاملة يتعرض لها الى المندوبية السياحية مرجع النظر وكذلك عبر الرقم الأخضر المركزي 100331 كما ذكر محدثنا برقم اخضر ثان موضوع على ذمة النزل وحرفائها 105403 يصل بينها وبين قاعة عمليات للتدخل في كل ما يتعلق بحوادث تجد في اطار النشاط السياحي من حوادث غرق او سرقة او ما شابه والرقم مفتوح 24 ساعة على 24 ساعة مشددا على ان كل التشكيات التي تصل المصالح المركزية او المندوبيات الجهوية للسياحة تتم معالجتها في الابان كما عرّج على فرق العمل لاعوان الديوانة المتواجدة باهم المطارات التونسية للتدخل لتذليل بعض الاشكاليات الطارئة التي تواجه السياح.. منية اليوسفي
Assabah
A défaut de se payer une « piscine » huppée : A défaut de se payer une « piscine » huppée
Incontournables plages à péage !
Essayez-donc de vous baigner aux alentours immédiats de Tunis ! C'est la galère qui sera au rendez-vous si vous ne vous déplacez pas dans un rayon qui avoisine les soixante kilomètres.
Incontournables plages à péage !
Essayez-donc de vous baigner aux alentours immédiats de Tunis ! C'est la galère qui sera au rendez-vous si vous ne vous déplacez pas dans un rayon qui avoisine les soixante kilomètres.
Alors que l'accès aux plages des hôtels devient hors de prix avec des tarifs affichés qui atteignent les cinquante dinars pour une journée en bord de mer, les solutions de rechange ne sont pas très nombreuses.
Ainsi, les banlieues nord et sud de la capitale souffrent d'un encombrement hors normes qui commence déjà dans les moyens de transport. De Radès à Borj Cédria, c'est la foire d'empoigne ! De la Goulette à Raoued, ce n'est pas mieux !
Dès lors, si vous n'avez pas d'autres possibilité que ces banlieues pour faire trempette, il faudra passer par la case "plage aménagée" qui est censée vous éviter des promiscuités non désirées.
Et c'est là que le bât blesse car ces plages supposées offrir des services sont dans la plupart des cas promotrices de sévices. Matériel bancal avec des chaises longues réformées et des tables en plastique de bric et de broc. Bruit infernal avec une bande son qui va du mezoued le plus vulgaire aux stars du moment les plus écœurantes. Et aussi prix surréalistes pour la qualité de ce qui est proposé.
Dès lors, ce qui était censé offrir une solution de repli devient motif de tracasseries à éviter pour jouir d'un peu de quiétude dominicale. Aux tenanciers de ces "paillotes" informels de se réformer et, surtout, à la tutelle de les inciter à rectifier le tir pour que ces plages aménagées demeurent vivables.
Hatem
Une journée à la plage dans le Grand Tunis: La croix et la bannière
[img::]http://www.letemps.com.tn/upload/p2-n1- ... 7-2008.jpg[/img]
Estivants nomades ou occasionnels se retrouvent entassés dans les mêmes espaces, depuis le bus jusqu'au coin de plage sous un parasol payable.
Curieux qu'on n'ait pas pensé à aménager de vrais campings
Alors que la saison estivale bat son plein, depuis début juillet, dans les stations balnéaires de la banlieue nord de Tunis, dans un climat particulièrement surchauffé,
cette année, beaucoup d'estivants se plaignent que rien de substantiel n'ait été fait pour compenser les dégradations de toutes sortes occasionnées, avec le temps, aux conditions de villégiature dans le Grand Tunis, ces dernières décades.
Les plaignants appartiennent, en particulier, à ces estivants d'un jour ou estivants nomades et occasionnels qui constituent la grande masse des estivants du Grand Tunis et dont le nombre croît, sans cesse, pour les raisons démographiques qu'on connaît, mais aussi à cause de la régression notable des anciens modes de villégiature estivale.
Autrefois, nous a dit un père de famille rencontré à la plage de la Goulette avec sa femme et ses enfants, beaucoup de tunisois et de gens de la classe moyenne du Grand Tunis pouvaient se permettre de louer une maison en été dans l'une des stations balnéaires de la banlieue nord de la Capitale pour y passer l'été et profiter, réellement, de tous les agréments que la saison chaude procure à l'homme , notamment les baignades à la plage.
Cette pratique est aujourd'hui révolue pour diverses raisons, a-t-il noté, de sorte que tous les estivants sont devenus des estivants nomades et occasionnels, qui viennent passer, de temps en temps, une journée sur la plage, dans des conditions, souvent, affreuses.
Un autre estivant présent signale, à ce propos, plus spécialement, les conditions de transport inhumaines que ces estivants nomades et occasionnels doivent supporter pour venir à la plage et rentrer chez eux.
''Les gens s'entassent comme des sardines dans les bus et les wagons du train de Tunis - Goulette- la Marsa (TGM), a-t-il souligné, tandis que leur spectacle sur le chemin de l'aller et du retour, avançant en cohortes serrées, avec leurs sacs et parasols en vue, rappelle celui des ''hattayas'' ou nomades des anciens temps que les disettes poussaient à quitter, jadis, leur campagne et venir envahir, en haillons, les faubourgs des villes et villages, à la recherche de quoi vivre.
Ce sont, souvent, les sollicitations pressant des enfants qui obligent les parents à accepter de subir ces épreuves, comme nous l'a dit une mère de famille venue avec ses enfants de la Cité Taieb Mhiri , non loin de la Soukra.
Ainsi, l'un de ses enfants, un adolescent d'une quinzaine d'années, a pu venir, pour la première fois, à la Goulette , et faire connaissance avec la plage et ses plaisirs. Pourtant, la distance entre les deux endroits ne dépasse pas cinq kilomètres à vol d'oiseau. D'autant que la Cité Taieb M'hiri fait partie de la commune de la Goulette.
Encourager les campings
Cependant, en bravant toutes ces difficultés pour venir se rafraichir l'espace d'une journée, les estivants du Grand Tunis trouvent des plages rongées par l'érosion marine et transformées en peaux de chagrin par l'expansion urbaine et les blocs de pierre posés en vue de lutter contre l'avancée de la mer.
La formule des plages aménagées et payantes, en échange de quelques prestations, a contribué, ces dernières années, à rétrécir, davantage, l'espace libre sur les plages publiques et la marge de manœuvre des estivants..
D'après nos interlocuteurs, l'idée est bonne et traduit la volonté d'améliorer les conditions de villégiature pour les estivants occasionnels, mais les prestations se sont limitées, jusqu'à présent, à la location d'un petit coin de plage muni d'un parasol, et de tables et chaises, à la demande, chose que tout le monde peut faire sans passer par ces prestataires.
Aussi, évoquant l'exemple européen, certains d'entre eux préconisent l'encouragement de la formule des campings qui a le mérite de fournir des prestations globales et de faire revivre l'ancienne mode de villégiature consistant en la location de maisons pour toute ou une partie de la saison estivale.
Selon eux, on pourrait commencer par des campings de tentes équipés des commodités nécessaires, en attendant la construction de campings formés de cabines autonomes, dotées de l'électricité, du gaz, et de blocs sanitaires.
L'espace existe et peut être assuré, notent-ils, lorsqu'il s'agit d'interventions d'utilité publique.
De telles formules permettraient, aussi, aux citoyens de l'intérieur de fuir la fournaise qu'ils vivent, malgré eux, chaque été et venir passer, quelques jours, dans ces campings.
Salah BEN HAMADI
Incontournables plages à péage !
Essayez-donc de vous baigner aux alentours immédiats de Tunis ! C'est la galère qui sera au rendez-vous si vous ne vous déplacez pas dans un rayon qui avoisine les soixante kilomètres.
Incontournables plages à péage !
Essayez-donc de vous baigner aux alentours immédiats de Tunis ! C'est la galère qui sera au rendez-vous si vous ne vous déplacez pas dans un rayon qui avoisine les soixante kilomètres.
Alors que l'accès aux plages des hôtels devient hors de prix avec des tarifs affichés qui atteignent les cinquante dinars pour une journée en bord de mer, les solutions de rechange ne sont pas très nombreuses.
Ainsi, les banlieues nord et sud de la capitale souffrent d'un encombrement hors normes qui commence déjà dans les moyens de transport. De Radès à Borj Cédria, c'est la foire d'empoigne ! De la Goulette à Raoued, ce n'est pas mieux !
Dès lors, si vous n'avez pas d'autres possibilité que ces banlieues pour faire trempette, il faudra passer par la case "plage aménagée" qui est censée vous éviter des promiscuités non désirées.
Et c'est là que le bât blesse car ces plages supposées offrir des services sont dans la plupart des cas promotrices de sévices. Matériel bancal avec des chaises longues réformées et des tables en plastique de bric et de broc. Bruit infernal avec une bande son qui va du mezoued le plus vulgaire aux stars du moment les plus écœurantes. Et aussi prix surréalistes pour la qualité de ce qui est proposé.
Dès lors, ce qui était censé offrir une solution de repli devient motif de tracasseries à éviter pour jouir d'un peu de quiétude dominicale. Aux tenanciers de ces "paillotes" informels de se réformer et, surtout, à la tutelle de les inciter à rectifier le tir pour que ces plages aménagées demeurent vivables.
Hatem
Une journée à la plage dans le Grand Tunis: La croix et la bannière
[img::]http://www.letemps.com.tn/upload/p2-n1- ... 7-2008.jpg[/img]
Estivants nomades ou occasionnels se retrouvent entassés dans les mêmes espaces, depuis le bus jusqu'au coin de plage sous un parasol payable.
Curieux qu'on n'ait pas pensé à aménager de vrais campings
Alors que la saison estivale bat son plein, depuis début juillet, dans les stations balnéaires de la banlieue nord de Tunis, dans un climat particulièrement surchauffé,
cette année, beaucoup d'estivants se plaignent que rien de substantiel n'ait été fait pour compenser les dégradations de toutes sortes occasionnées, avec le temps, aux conditions de villégiature dans le Grand Tunis, ces dernières décades.
Les plaignants appartiennent, en particulier, à ces estivants d'un jour ou estivants nomades et occasionnels qui constituent la grande masse des estivants du Grand Tunis et dont le nombre croît, sans cesse, pour les raisons démographiques qu'on connaît, mais aussi à cause de la régression notable des anciens modes de villégiature estivale.
Autrefois, nous a dit un père de famille rencontré à la plage de la Goulette avec sa femme et ses enfants, beaucoup de tunisois et de gens de la classe moyenne du Grand Tunis pouvaient se permettre de louer une maison en été dans l'une des stations balnéaires de la banlieue nord de la Capitale pour y passer l'été et profiter, réellement, de tous les agréments que la saison chaude procure à l'homme , notamment les baignades à la plage.
Cette pratique est aujourd'hui révolue pour diverses raisons, a-t-il noté, de sorte que tous les estivants sont devenus des estivants nomades et occasionnels, qui viennent passer, de temps en temps, une journée sur la plage, dans des conditions, souvent, affreuses.
Un autre estivant présent signale, à ce propos, plus spécialement, les conditions de transport inhumaines que ces estivants nomades et occasionnels doivent supporter pour venir à la plage et rentrer chez eux.
''Les gens s'entassent comme des sardines dans les bus et les wagons du train de Tunis - Goulette- la Marsa (TGM), a-t-il souligné, tandis que leur spectacle sur le chemin de l'aller et du retour, avançant en cohortes serrées, avec leurs sacs et parasols en vue, rappelle celui des ''hattayas'' ou nomades des anciens temps que les disettes poussaient à quitter, jadis, leur campagne et venir envahir, en haillons, les faubourgs des villes et villages, à la recherche de quoi vivre.
Ce sont, souvent, les sollicitations pressant des enfants qui obligent les parents à accepter de subir ces épreuves, comme nous l'a dit une mère de famille venue avec ses enfants de la Cité Taieb Mhiri , non loin de la Soukra.
Ainsi, l'un de ses enfants, un adolescent d'une quinzaine d'années, a pu venir, pour la première fois, à la Goulette , et faire connaissance avec la plage et ses plaisirs. Pourtant, la distance entre les deux endroits ne dépasse pas cinq kilomètres à vol d'oiseau. D'autant que la Cité Taieb M'hiri fait partie de la commune de la Goulette.
Encourager les campings
Cependant, en bravant toutes ces difficultés pour venir se rafraichir l'espace d'une journée, les estivants du Grand Tunis trouvent des plages rongées par l'érosion marine et transformées en peaux de chagrin par l'expansion urbaine et les blocs de pierre posés en vue de lutter contre l'avancée de la mer.
La formule des plages aménagées et payantes, en échange de quelques prestations, a contribué, ces dernières années, à rétrécir, davantage, l'espace libre sur les plages publiques et la marge de manœuvre des estivants..
D'après nos interlocuteurs, l'idée est bonne et traduit la volonté d'améliorer les conditions de villégiature pour les estivants occasionnels, mais les prestations se sont limitées, jusqu'à présent, à la location d'un petit coin de plage muni d'un parasol, et de tables et chaises, à la demande, chose que tout le monde peut faire sans passer par ces prestataires.
Aussi, évoquant l'exemple européen, certains d'entre eux préconisent l'encouragement de la formule des campings qui a le mérite de fournir des prestations globales et de faire revivre l'ancienne mode de villégiature consistant en la location de maisons pour toute ou une partie de la saison estivale.
Selon eux, on pourrait commencer par des campings de tentes équipés des commodités nécessaires, en attendant la construction de campings formés de cabines autonomes, dotées de l'électricité, du gaz, et de blocs sanitaires.
L'espace existe et peut être assuré, notent-ils, lorsqu'il s'agit d'interventions d'utilité publique.
De telles formules permettraient, aussi, aux citoyens de l'intérieur de fuir la fournaise qu'ils vivent, malgré eux, chaque été et venir passer, quelques jours, dans ces campings.
Salah BEN HAMADI
c etait un sujet et non un forum leila,la derniere fois que je l ai vu,il trainait dans expat.leila a écrit :Où est passé le forum:Savez vous que...qui parle des curiosités de la tunisie? vous l'avez supprimé?
je vais voir si je peux le retrouver,j espere que je ne l avais pas supprimé par inadvertence
